C’est vendredi soir.
Tes amis ont tous des projets, tes mails sont fermés, et toi, tu n’as rien de prévu.
Un vertige s’installe : “rien ? vraiment rien ?”
C’est là que commence le vrai kiff.
Le week-end sans plan, c’est comme un blanc dans une conversation : au début, ça gêne, puis ça devient confortable.
Tu peux traîner, cuisiner, te perdre dans un film ou juste regarder le plafond en te disant que tu es en train de vivre ta meilleure impro.
Dans un monde obsédé par le “faire”, il y a une révolution silencieuse : ne rien prévoir.
Parce que parfois, ce qui te manque, ce n’est pas le temps — c’est l’autorisation de l’utiliser librement.
“Un week-end sans plan, c’est une respiration qu’on n’a pas programmée.”
