Les grandes idées n’arrivent jamais dans les open spaces, ni dans les réunions, ni dans les Google Docs partagés.
Elles débarquent quand tu es à deux doigts de t’endormir, cerveau en mode écran de veille, sans pression ni PowerPoint.
C’est toujours pareil : ton cerveau s’éclaire d’un coup, genre révélation divine. Tu penses à une invention révolutionnaire, à un projet de génie, ou à un concept qui pourrait changer le monde.
Et juste au moment où tu te dis “il faut que je note ça”, ton cerveau répond : “après la sieste.”
Bien sûr, tu ne t’en souviendras jamais.
Mais ce n’est pas grave. Parce que parfois, le vrai kiff, ce n’est pas d’avoir l’idée — c’est de la laisser flotter un instant avant de replonger dans le sommeil.
Peut-être que les gens productifs créent des empires.
Mais ceux qui font des siestes inventent la paix intérieure.
“La sieste, c’est l’innovation sans effort.”
