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La flemme, cet art de vivre sous-coté

On parle souvent de “passion”, de “motivation”, d’“ambition”.
Mais qui parle encore de flemme ?
Pas la mauvaise flemme — celle qui te cloue au canapé façon légume existentiel — non. La vraie flemme, noble et raffinée : celle qui te sauve d’une réunion inutile, d’une sortie que tu ne voulais pas faire, ou d’une tâche sans âme.

La flemme, c’est l’intelligence du corps qui murmure : “pas aujourd’hui, mon ami.”
C’est un super-pouvoir discret, un radar intégré pour éviter la surchauffe.

On vit dans un monde où tout le monde court. Mais vers où ? Le vrai courage, parfois, c’est de s’arrêter et dire : “Non merci, j’ai la flemme, mais polie.”

C’est dans ces moments suspendus qu’on retrouve l’essentiel : l’air, le temps, et la possibilité de faire rien — bien.
Et si, finalement, la flemme était une forme de sagesse ? Celle des gens qui ont compris que la vie ne se mesure pas en cases cochées mais en minutes respirées.

“Faire une pause, ce n’est pas perdre du temps. C’est refuser de le gaspiller mal.”r

« Notre article combine la puissance de l’intelligence artificielle pour la création de contenu et l’expertise humaine pour la correction et l’amélioration. »